La Fédération Nationale de l’Agriculture Biologique (FNAB) et l’association Alerte des médecins sur les pesticides (AMLP) ont souhaité que le débat concernant la répartition des aides PAC (politique agricole commune) en France, prenne en compte les arguments sanitaires. Dans une tribune, des professionnel.es de santé mais aussi des chercheuses et chercheurs demandent au ministère de l’agriculture et de l’alimentation de prioriser dans la politique agricole commune (PAC) la réduction drastique des pesticides dans la production et dans l’alimentation en favorisant le développement de l’agriculture biologique.
Parallèlement, une nouvelle expertise de l’Inserm publiée le 30 juin, analysant l’ensemble de la littérature scientifique existante, étaye cette question en établissant une « présomption forte » de lien entre l’exposition professionnelle à ces produits et six maladies graves (trois types de cancer (prostate, lymphomes non hodgkiniens, myélomes multiples), la maladie de Parkinson, les troubles cognitifs et une maladie respiratoire évolutive, la BPCO).
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